Un Père Noël qui n’a pas froid aux yeux…

Encore cette année, samedi le 11 décembre, un Père Noël tout illuminé sortira du Lac de Neuchâtel devant la Maison du Plongeur au CIP, un peu avant la tombée de la nuit. Un cadeau sera distribué à chaque enfant présent. Pour l’occasion, le sympathique bonhomme portera des palmes aux pieds plutôt que ses bottes habituelles.

Pour assister sur écran à cet instant attendu chaque année chez les plongeurs, vous pouvez le visionner sur YouTube à l’adresse suivante : http://il.youtube.com/watch?v=qRHQypjGvic&feature=related

CIP - Maison du Pêcheur

Qu’est-ce que le CIP?

Fondé en 1957, à l’époque des premiers balbutiements de la plongée, le Centre International de Plongée fit figure de pionnier en Suisse. Aujourd’hui, il comporte une école active dont les brevets sont reconnus par la CMAS International.

Le CIP reste un des derniers clubs disposant de son propre bâtiment, d’un des meilleurs bateaux adaptés à la plongée du lac de Neuchâtel, d’un compresseur, d’une base O2/Nitrox et Trimix et tout ceci grâce à la force et la ténacité de bénévoles, qui oeuvrent pour leur club et pour la continuité et le développement de ses richesses et activités depuis son existence.

Source : www.cip-ne.ch

Encore cette année, samedi le 11 décembre, un Père Noël tout illuminé sortira du Lac de Neuchâtel devant la Maison du Plongeur au CIP, un peu avant la tombée de la nuit. Un cadeau sera distribué à chaque enfant présent. Pour l’occasion, le sympathique bonhomme portera des palmes aux pieds plutôt que ses bottes habituelles.

Pour assister sur écran à cet instant attendu chaque année chez les plongeurs, vous pouvez le visionner sur YouTube à l’adresse suivante : http://il.youtube.com/watch?v=qRHQypjGvic&feature=related

Qu’est-ce que le CIP?

Fondé en 1957, à l’époque des premiers balbutiements de la plongée, le Centre International de Plongée fit figure de pionnier en Suisse. Aujourd’hui, il comporte une école active dont les brevets sont reconnus par la CMAS International.

Le CIP reste un des derniers clubs disposant de son propre bâtiment, d’un des meilleurs bateaux adaptés à la plongée du lac de Neuchâtel, d’un compresseur, d’une base O2/Nitrox et Trimix et tout ceci grâce à la force et la ténacité de bénévoles, qui oeuvrent pour leur club et pour la continuité et le développement de ses richesses et activités depuis son existence.

Source : www.cip-ne.ch

Une Université rentable pour le Canton


Une étude récente vient d’être publiée concernant l’impact économique de l’Université de Neuchâtel; celle-ci a mis en évidence que l’Institution a rapporté 194 francs par habitants en 2009,  soit 33,5 millions de francs. Des chiffres qui font dire aujourd’hui à l’université, dans un communiqué, que «si la formation coûte cher, elle peut aussi rapporter gros».

Cette étude, qui procède à l’évaluation quantitative de l’impact exercé par l’Université de Neuchâtel sur l’économie du canton, est résumée dans le numéro 18 d’«UniNEws». Il s’agit de la troisième étude de ce type.

En 2009, l’Alma mater a généré 25,5 millions de retombées économiques et 8 millions de retombées indirectes. Le canton comptait également 21% de diplômés universitaires contre 15% en moyenne suisse.

Source : www.arcinfo.ch

Hier et aujourd’hui

Rappelons ici que l’Université de Neuchâtel a été fondée en 1838 avec le soutien de Berlin.  D’ailleurs, au musée d’histoire de Neuchâtel, de nombreuses peintures et objets font référence à cette période.  Plus de 850 bachelors, masters, doctorats et diplômes y sont délivrés chaque année. L’université compte plus de 840 postes de travail (équivalent plein temps).

L’établissement offre aujourd’hui à plus de 4 000 étudiants des cursus d’étude en lettres et sciences humaines, en sciences, en droit, en sciences économiques et en théologie. La langue officielle de l’Université est le français.

Du changement dans les horaires des transports publics

Dès le 12 décembre prochain, les nouveaux horaires 2011 des transports publics seront introduits avec quelques changements dans le canton de Neuchâtel.

En résumé :

Un train supplémentaire sera introduit au départ de Lausanne à 18h13 pour une arrivée à Neuchâtel à 19h03. Cinq trains supplémentaires circuleront entre Yverdon et Gorgier. Avec départ d’Yverdon à 6h12 et 7h15. Le soir, départ de Neuchâtel à 16h12, 17h07 et 23h07. En revanche, par manque de fréquentation, le PubliCar La Béroche est supprimé. En lieu et place, les trois paires de courses du samedi de la  ligne Gorgier – St-Aubin – Provence vont être réintroduites.

Les horaires de la ligne G au Val-de-Ruz entre Les Hauts-Geneveys – Cernier et Les Geneveys-sur-Coffrane seront adaptés en raison de la détérioration de la vitesse commerciale; laquelle est due à l’augmentation généralisée du trafic et des nombreuses mesures ponctuelles de limitations des vitesses à l’intérieur des localités.

Une nouvelle paire de courses sera introduite les week-ends sur la ligne CarPostal La Neuveville – Le Landeron – Plateau-de-Diesse (- Chasseral), du 30 avril au 30 octobre, entre Nods et Chasseral (départ de Nods à 11h31, de Chasseral à 13h).

Vingt nouveaux trolleybus à plancher surbaissé seront progressivement introduits jusqu’à mi-2011 dans le réseau urbain de l’agglomération de Neuchâtel et 22 nouveaux bus dans le réseau urbain et régional des TRN. En outre, le nouveau matériel roulant CFF Domino sera généralisé sur les principales lignes cantonales.

Ces améliorations s’accompagneront d’une augmentation des tarifs de l’Onde Verte.

Source : http://www.arcinfo.ch

Bientôt la 8e édition du C’est l’Hiver! Morgins Festival

Situé à une vingtaine de kilomètres de Neuchâtel, à Morgins, le Festival C’est l’Hiver présentera, le 4 décembre prochain, sa 8e édition! Pour l’occasion plusieurs artistes locaux et internationaux sont attendus afin de fêter officiellement l’arrivée de l’hiver.  Après le succès des dernières manifestations qui ont attiré un public de plus en plus nombreux, le comité d’organisation a décidé d’élargir les styles musicaux. A titre d’exemple, se produiront cette année l’Électro-pop folle et burlesque de Stéréo Total, les maîtres de la hype parisienne Make The Girls Dance, l’homme aux multiples talents Thierry Romanens, le groupe rock suisse Antipods et l’ensemble Casserolband. Sans oublier le set déluré de DJ Biscuit et les Cassosses pour une soirée endiablée.

Son origine

En 2003, l’idée d’organiser un festival hivernal a germé dans la tête de quelques Morginois, inspirés par le célèbre disparu « Morgins Jazz Rock », festival d’été qui était organisé sur les hauteurs du village. Au départ, le « Morgins Winter Festival » a débuté avec très peu de moyens matériels et financiers, mais beaucoup de motivation et d’enthousiasme.

Toute une soirée!

Comme pour les autres éditions, le festival 2010 se déroulera sur une seule soirée. Pour des raisons de sécurité et de confort, des navettes gratuites seront organisées au départ de Monthey et redescendront les festivaliers à la fin des concerts. Les places, limitées, pourront être acquises sur TicketCorner et à l’Office du tourisme de Morgins.

Le prix des billets reste accessible à tous : 20 francs.

Pour plus d’information : www.morginsfestival.ch

Les Églises du canton privées du soutien de Philip Morris

Le cigarettier Philip Morris a pris la décision de ne pas réitérer la contribution qu’il faisait jusqu’ici aux Églises reconnues du canton de Neuchâtel.  La raison de ce geste serait imputable aux nouvelles règles de donation de l’entreprise qui excluent désormais le soutien aux causes religieuses.  Le porte-parole de Philip Morris a rappelé que le dernier engagement en faveur des églises reconnues du canton de Neuchâtel est arrivé à échéance en 2009.

Selon l’Express, « cette contribution aurait dû s’élever à 1,5 million de francs pour 2010 soit un peu plus de la moitié pour l’Église réformée évangélique, un peu moins à la Fédération catholique romaine et le restant à l’Église catholique chrétienne. »  Rappelons ici que, dans le canton de Neuchâtel (et aussi dans celui de Genève), l’impôt ecclésiastique est volontaire donc non obligatoire.

Grandes préoccupations

Les Églises neuchâteloises déplorent que cette décision soit effective pour l’exercice 2010 et s’inquiètent déjà d’une situation qui pourrait les plonger, affirment leurs représentants, dans les chiffres rouges en 2011 et 2012. De plus, plusieurs prestations sociales risquent d’être désormais menacées, telles que la présence régulière d’aumôniers dans les hôpitaux, les homes, la rue et les prisons ou la capacité à assumer la totalité des demandes de célébration de services funèbres.

Beaux gestes

Il ne faut cependant pas oublier que la compagnie Philip Morris vient en aide à la communauté via des dons substantiels à Caritas, aux Cartons du coeur, ou Solidarité Femmes.  Sur le plan culturel, il soutient le Théâtre du Passage à Neuchâtel, L’Heure Bleue à La Chaux-de-Fonds et le Musée du Laténium.  Sponsor de la Fête des vendanges, il s’investit aussi dans le Millénaire de Neuchâtel à hauteur de 200’000 fr. et construit à Boudry une crèche de 122 places, dont 15% sont dédiées au voisinage.

Neuchâtel : un exemple de bonne gestion

Édifice de l'IDHEAPDans le palmarès récent de l’Idheap (École des hautes études en administration publique), Neuchâtel se classe en tête des villes les mieux gérées de Suisse, suivies par Thoune et Genève – sur les vingt villes suisses notées en terme de situation et de gestion financières.

Toujours selon l’Idheap, le trio de tête a témoigné en 2009 d’une santé financière supérieure ou égale à la moyenne des sept dernières années. Lucerne, St-Gall, Coire, Winterthour, Zurich et Lausanne ont enregistré, au contraire, les écarts négatifs les plus importants.

Les villes de Neuchâtel, Thoune, Genève, Delémont, Coire et la Chaux-de-Fonds occupent les premiers rangs de l’indice de la qualité de la gestion financière. Fribourg, Emmen (LU), Lucerne, Sion, St-Gall, Winterthour, Zurich et Lausanne se situent en revanche en-dessous de 4 points sur une échelle graduée de 1 à 6.

La couverture des charges

L’indice de la couverture des charges montre que six villes sur les 20 figurant au classement n’ont pas couvert leurs dépenses par des revenus correspondants. Il s’agit des villes de Delémont, Bienne, Köniz, La Chaux-de-Fonds, Winterthour et Lausanne.

En dépit de comptes déficitaires en 2009, les villes de Delémont et La Chaux-de-Fonds se sont cependant bien classées en termes de qualité de la gestion financière. Cela signifie, précise l’Idheap dans son analyse, que les autorités ont conscience d’une situation précaire et fournissent les efforts nécessaires pour l’améliorer.

Investissements
Sept villes ont procédé en 2009 à des investissements nets couverts intégralement par des fonds propres. Il s’agit des cités de Neuchâtel, Thoune, Genève, Berne, Fribourg, Emmen et Winterthour. En revanche, Schaffhouse, Sion, Coire, Zurich et Lausanne se situent en dessous du seuil jugé adéquat de 80% d’autofinancement.

Un bémol

Le niveau d’endettement de la ville, dont l’étude de l’Idheap ne tient pas compte, reste préoccupant, a cependant précisé Alain Ribaux, le conseiller communal en charge des finances de la Ville de Neuchâtel. Selon lui, les résultats de l’étude sont bons néanmoins pour le moral d’une région en difficulté. Ils montrent que les autorités sont conscientes des points problématiques de leur cadre financier et prennent les mesures nécessaires pour s’en occuper efficacement.

Source : http://www.arcinfo.ch

Neuchâtel : un exemple de bonne gestion

Dans le palmarès récent de l’Idheap (École des hautes études en administration publique), Neuchâtel se classe en tête des villes les mieux gérées de Suisse, suivies par Thoune et Genève – sur les vingt villes suisses notées en terme de situation et de gestion financières.

Toujours selon l’Idheap, le trio de tête a témoigné en 2009 d’une santé financière supérieure ou égale à la moyenne des sept dernières années. Lucerne, St-Gall, Coire, Winterthour, Zurich et Lausanne ont enregistré, au contraire, les écarts négatifs les plus importants.
Si les villes de Neuchâtel, Thoune, Genève, Delémont, Coire et la Chaux-de-Fonds occupent les premiers rangs de l’indice de la qualité de la gestion financière, Fribourg, Emmen (LU), Lucerne, Sion, St-Gall, Winterthour, Zurich et Lausanne se situent en revanche en-dessous de 4 points sur une échelle graduée de 1 à 6.

La couverture des charges

L’indice de la couverture des charges montre que six villes sur les 20 figurant au classement n’ont pas couvert leurs dépenses par des revenus correspondants. Il s’agit des villes de Delémont, Bienne, Köniz, La Chaux-de-Fonds, Winterthour et Lausanne.
En dépit de comptes déficitaires en 2009, les villes de Delémont et La Chaux-de-Fonds se sont cependant bien classées en termes de qualité de la gestion financière. Cela signifie, précise l’Idheap dans son analyse, que les autorités ont conscience d’une situation précaire et fournissent les efforts nécessaires pour l’améliorer.
Investissements

Sept villes ont procédé en 2009 à des investissements nets couverts intégralement par des fonds propres. Il s’agit des cités de Neuchâtel, Thoune, Genève, Berne, Fribourg, Emmen et Winterthour. En revanche, Schaffhouse, Sion, Coire, Zurich et Lausanne se situent en dessous du seuil jugé adéquat de 80% d’autofinancement.

Un bémol

Le niveau d’endettement de la ville, dont l’étude de l’Idheap ne tient pas compte, reste préoccupant, a cependant précisé Alain Ribaux, le conseiller communal en charge des finances de la Ville de Neuchâtel. Selon lui, les résultats de l’étude sont bons néanmoins pour le moral d’une région en difficulté. Ils montrent que les autorités sont conscientes des points problématiques de leur cadre financier et prennent les mesures nécessaires pour s’en occuper efficacement.

Source : http://www.arcinfo.ch

Visite insolite : les Moulins souterrains du Locle

Voici l’histoire des fameux Moulins souterrains du Locle :

En 1660, Jonas Sandoz, receveur des Montagnes neuchâteloises et membre d’une famille puissante et fortunée, reçut par héritage une concession sur le Bied, entre le Châtelard et les Portes du Locle. La même année, il informa le Conseil d’État de sa volonté d’installer au Locle de nouveaux moulins, pour le plus grand bien de la population. Fort de l’influence de sa famille et assez persuasif, celui-ci obtint gain de cause : le Conseil d’État lui accorda la concession sur tout le cours du Bied, de la sortie du Locle au Col-des-Roches.

Jonas Sandoz ne se contenta pas des deux rouages déjà établis par ses prédécesseurs. Il fit creuser la grotte afin d’y installer cinq roues hydrauliques pour actionner moulins, scierie, rebatte et huilière. Des canaux souterrains servaient à conduire l’eau de rouages en rouages, tandis que des galeries et des escaliers permettaient l’entretien de la machinerie. Il réussit à installer une véritable usine souterraine qu’il devra vendre en 1690, peu avant de mourir, pour éviter de sombrer dans la pauvreté.

Le XVIIIe siècle a vu se succéder aux moulins du Col-des-Roches une demi-douzaine de propriétaires, dont l’activité principale était de simplifier le mécanisme hydraulique. De cinq rouages, on passa à quatre dans les premières décennies du siècle. A partir des années 1780, les voyageurs qui ont visité les moulins recensèrent unanimement trois rouages et trois moulins. D’autre part, on assista dans la Principauté à une diminution des moulins à céréales au cours du même siècle, due aux importations de farine, quoique interdites mais tolérées.

Au fil du temps, des perfectionnements de l’ère industrielle furent ajoutés aux moulins grâce à l’ingéniosité de Jean-Georges Eberlé, boulanger loclois, originaire du Wurtemberg. Propriétaire du site dès 1844, il construisit un vaste bâtiment comprenant moulins, nettoyage à blé, bluterie et monte-sacs. Dix ans plus tard, il remplaça une des roues hydrauliques par une turbine. Quant à la dernière roue, elle actionne toujours, par le biais d’un arbre de transmission de cinquante mètres, une scierie transférée au niveau du sol.

En 1884, la Municipalité du Locle acheta les moulins aux héritiers d’Eberlé. Quatorze ans plus tard, es moulins furent transformés en abattoir-frontière. Instaurés par le Département fédéral de l’agriculture, ces établissements remplissaient essentiellement un rôle de contrôle sanitaire des bestiaux importés. Au début du XXe siècle, l’abattoir-frontière du Col-des-Roches prit de l’expansion se dotant de nouveaux bâtiments et d’installations dernier cri. Malheureusement, l’abattoir se servit de la grotte comme d’un dépotoir pour les déchets carnés et les eaux usées. A sa fermeture, en 1966, l’emposieu du Col-des-Roches était gravement pollué.

En 1973, un groupe d’amateurs d’histoire et de spéléologie entreprit le nettoyage de la grotte et la restauration partielle des moulins. Après quinze ans de labeur courageux et bénévole, la Confrérie des Meuniers du Col-des-Roches pu enfin rendre au public les Moulins souterrains du Col-des-Roches. Le site suscita immédiatement l’intérêt du public et les visites guidées attirèrent une moyenne annuelle de 35’000 visiteurs. Diverses améliorations furent apportées au cours des années, telle l’ouverture d’une exposition permanente en 2001, puis la création d’un espace pour les expositions temporaires.

Pour les horaires des visites et les tarifs : http://www.lesmoulins.ch/tarifs.htm

Des noms qui ont marqué l’histoire de Neuchâtel

Abraham Louis Breguet

Cette liste exhaustive présente les principales personnalités liées à l’histoire d’hier et d’aujourd’hui du canton de Neuchâtel.

Artistes

Écrivains

Grands entrepreneurs

Politique

Sciences

Source : www.memo.fr

Certains noms qui marquent le présent de Neuchâtel

Daniel Burki

Daniel Burki 58 ans Président de la Chambre de commerce et de l’industrie

En décidant de lancer, au nom de la Chambre, une initiative pour des baisses d’impôts, cet administrateur de sociétés a secoué la politique consensuelle neuchâteloise. Depuis, les chefs de partis ne cessent de défiler dans son bureau. Economiste, il a dirigé la holding Ciment Portland avant d’accéder au cénacle ultime: le comité directeur d’économie suisse.

Michel Parmigiani 53 ans Artisan horloger

Fils d’un mécanicien de précision italien, il en a hérité sa passion pour la perfection. Devenu horloger, il s’est d’abord occupé de la restauration de chefs-d’oeuvre appartenant à la collection de la Fondation Sandoz qui, impressionnée par son savoir-faire, l’a aidé à développer sa propre marque haut de gamme. Il a installé sa manufacture à Fleurier, dans un ancien établissement d’horlogerie rénové avec amour et respect.

Pierre-Olivier Chave 61 ans Directeur et fondateur de PX Holding

En 1976, ce Lausannois d’origine fondait PX Holding à La Chaux-de-Fonds. Aujourd’hui, la société est devenue leader de l’habillement horloger swissmade avec quelque 400 collaborateurs. Cet entrepreneur est aussi président du Neode, parc scientifique et technologique ouvert aux start-up, mais dont bénéficieront aussi les PME. Pierre-Olivier Chave y voit un outil majeur du développement de l’Arc jurassien.

François Thiébaud 57 ans Président de Tissot

Depuis huit ans à la tête de Tissot, l’une des marques mythiques de Swatch Group, François Thiébaud collectionne les responsabilités: gestion de Certina et Mido et coordinateur des dix-huit marques du groupe. Il a gagné ses galons en développant Breitling. Il est également vice-président du comité suisse de la Foire de Bâle.

Luigi Macaluso 55 ans Propriétaire de Girard-Perregaux

L’univers de Luigi Macaluso, propriétaire depuis douze ans de la marque bicentenaire Girard-Perregaux, est naturellement fait d’élégantes montres. Si Luigi Macaluso voyage fréquemment, La Chaux-de-Fonds demeure son port d’attache. Il y a deux ans, il rejoint la commission consultative cantonale pour les questions économiques et, l’an dernier, le conseil de la Chambre du commerce et de l’industrie. Des dirigeants politiques suisses, il espère un intérêt accru pour l’horlogerie, ce secteur qui «appartient à l’ADN de l’arc jurassien.

Monika Dusong 58 ans Conseillère d’État

Cette Bâloise fut la première femme à entrer à l’exécutif de Neuchâtel, en 1992, puis la première au Conseil d’État, en 1997, ouvrant la voie à une génération de politiciennes socialistes.

Claude Nicati 47 ans Procureur général suppléant de la Confédération

Ancien adjoint au commandement de la police cantonale, il officie à Berne depuis 2001. Responsable de la lutte contre le crime organisé, le blanchiment et la corruption, il met son énergie à la gestion de ses équipes de procureurs et à l’avance de ses propres dossiers.

Geneviève Calpini-Calame 47 ans Présidente du tribunal de district

Elle est la juge courageuse et humaine par excellence. En fonctions depuis quinze ans, elle reste modeste et mûrit attentivement ses décisions, qu’elle sait souvent lourdes de conséquences.

André Calantzopoulos 46 ans Président de Philip Morris International (PMI)

Situé à l’entrée ouest de Neuchâtel, la fabrique de tabacs de Philip Morris regroupe près de 1200 collaborateurs. C’est le plus gros contribuable du canton, mais le centre de décision de la firme américaine est ailleurs, à Lausanne. Né en Grèce, André Calantzopoulos a décroché un diplôme d’ingénierie électrique à l’EPFL. Entré chez Philip Morris à moins de 30 ans, il en a gravi les échelons en troisième visite. En 2002, il est devenu président et CEO de PMI.

Thomas Hinderling 57 ans Directeur du Centre suisse d’électronique et de microtechnique

Ce Zurichois règne sur l’innovation. Rien ne se fait dans ce domaine, ni à Neuchâtel ni ailleurs, sans passer par le directeur du Centre suisse d’électronique et de microtechnique. Sous sa houlette, une dizaine de spin-off (entreprises créées autour d’une innovation) ont vu le jour dans la région; ce qui a permis la création d’environ 300 emplois.

André Haemmerli 51 ans Directeur général de Johnson & Johnson

La multinationale américaine du secteur de la santé ne cesse de grandir dans le canton. Ses sept sociétés regroupent 700 personnes entre Le Locle et Neuchâtel. Le Chaux-de-Fonnier André Haemmerli est à la tête du groupe depuis 2001.

Jean Berthoud 42 ans Directeur général de la Banque Bonhôte & Cie SA

Issu d’une famille neuchâteloise émigrée à Paris, Jean Berthoud tente, à 22 ans, de racheter la Banque Bonhôte, fondée en 1815. Elle lui échappe. Mais il est tenace: neuf ans plus tard, il ramasse 2% du capital à la faveur d’un rachat par les cadres. Aujourd’hui, avec quatre partenaires, il contrôle la seule banque privée neuchâteloise.

Portrait de Didier Burkhalter


Né en 1960 à Neuchâtel, Didier Burkalter est un professionnel de la politique, membre du Parti Libéral radical. Après des études universitaires en économie politique, il est devenu rédacteur économique avant de se lancer en politique.  Didier Burkhalter est le neuvième Neuchâtelois élu au Conseil fédéral.

Résumé biographique

Élu en 1991 au Conseil communal de la ville de Neuchâtel, Didier Burkhalter était à l’époque un des plus jeunes politiciens suisses désigné à une fonction exécutive. Il quittera son poste en 2005, après la conclusion du partenariat public-privé (PPP) ayant abouti à la construction du nouveau stade de La Maladière.

En 2003, à Berne, son tempérament peu porté à l’utopie va le positionner d’emblée aux avant-postes du Parti radical-démocratique suisse (PRD), devenu depuis le Parti libéral-radical (PLR). Deux ans plus tard, ses talents de médiateur lui valent une nomination à la vice-présidence du groupe radical aux Chambres. Lors des élections fédérales de 2007, il réussit également le difficile passage du Conseil national au Conseil des États, en enlevant un des deux sièges détenus par le PS neuchâtelois.

Au Conseil des États, on doit à Didier Burkhalter le vote de la motion réclamant l’instauration d’un système d’alerte en cas d’enlèvement d’enfants. A Berne, Didier Burkhalter était un parlementaire très écouté. Le dernier sondage de la Sonntagszeitung le place même au 5e rang des parlementaires les plus influents, et au premier rang parmi les latins.

Un homme loyal

On reconnaît à Didier Burkhalter une loyauté sans faille à l’égard de sa famille politique.  Ses convictions libérales se doublent d’une capacité de médiation prudente dans les situations de blocage. Chez lui, les concessions sont mûrement réfléchies et ne vont jamais trop loin. Didier Burkhalter est un homme prudent et pragmatique. Pour lui, le charisme politique n’a de sens que s’il produit des résultats.

Source : http://www.tsr.ch

Canton et ville de Neuchâtel sur internet. Actualité, informations et liens. Présentation des régions, des institutions et des entreprises neuchâteloise.