Les impôts tombant sur les résidents et les entreprises (à l’exception des grosses sociétés américaines qui profitent d’un traitement de faveur) du canton de Neuchâtel sont parmi les plus élévés du pays.
Les taxes fiscales permettent de couvrir les dépense de l’Etat neuchâtelois. Pour l’année 2009, le montant total des dépenses a atteint 1.972 millards de francs suisse.
Pour 100 francs d’impôts perçu le montant a été réparti de la manière suivante
Dans le palmarès récent de l’Idheap (École des hautes études en administration publique), Neuchâtel se classe en tête des villes les mieux gérées de Suisse, suivies par Thoune et Genève – sur les vingt villes suisses notées en terme de situation et de gestion financières.
Toujours selon l’Idheap, le trio de tête a témoigné en 2009 d’une santé financière supérieure ou égale à la moyenne des sept dernières années. Lucerne, St-Gall, Coire, Winterthour, Zurich et Lausanne ont enregistré, au contraire, les écarts négatifs les plus importants.
Les villes de Neuchâtel, Thoune, Genève, Delémont, Coire et la Chaux-de-Fonds occupent les premiers rangs de l’indice de la qualité de la gestion financière. Fribourg, Emmen (LU), Lucerne, Sion, St-Gall, Winterthour, Zurich et Lausanne se situent en revanche en-dessous de 4 points sur une échelle graduée de 1 à 6.
La couverture des charges
L’indice de la couverture des charges montre que six villes sur les 20 figurant au classement n’ont pas couvert leurs dépenses par des revenus correspondants. Il s’agit des villes de Delémont, Bienne, Köniz, La Chaux-de-Fonds, Winterthour et Lausanne.
En dépit de comptes déficitaires en 2009, les villes de Delémont et La Chaux-de-Fonds se sont cependant bien classées en termes de qualité de la gestion financière. Cela signifie, précise l’Idheap dans son analyse, que les autorités ont conscience d’une situation précaire et fournissent les efforts nécessaires pour l’améliorer.
Investissements Sept villes ont procédé en 2009 à des investissements nets couverts intégralement par des fonds propres. Il s’agit des cités de Neuchâtel, Thoune, Genève, Berne, Fribourg, Emmen et Winterthour. En revanche, Schaffhouse, Sion, Coire, Zurich et Lausanne se situent en dessous du seuil jugé adéquat de 80% d’autofinancement.
Un bémol
Le niveau d’endettement de la ville, dont l’étude de l’Idheap ne tient pas compte, reste préoccupant, a cependant précisé Alain Ribaux, le conseiller communal en charge des finances de la Ville de Neuchâtel. Selon lui, les résultats de l’étude sont bons néanmoins pour le moral d’une région en difficulté. Ils montrent que les autorités sont conscientes des points problématiques de leur cadre financier et prennent les mesures nécessaires pour s’en occuper efficacement.
Dans le palmarès récent de l’Idheap (École des hautes études en administration publique), Neuchâtel se classe en tête des villes les mieux gérées de Suisse, suivies par Thoune et Genève – sur les vingt villes suisses notées en terme de situation et de gestion financières.
Toujours selon l’Idheap, le trio de tête a témoigné en 2009 d’une santé financière supérieure ou égale à la moyenne des sept dernières années. Lucerne, St-Gall, Coire, Winterthour, Zurich et Lausanne ont enregistré, au contraire, les écarts négatifs les plus importants.
Si les villes de Neuchâtel, Thoune, Genève, Delémont, Coire et la Chaux-de-Fonds occupent les premiers rangs de l’indice de la qualité de la gestion financière, Fribourg, Emmen (LU), Lucerne, Sion, St-Gall, Winterthour, Zurich et Lausanne se situent en revanche en-dessous de 4 points sur une échelle graduée de 1 à 6.
La couverture des charges
L’indice de la couverture des charges montre que six villes sur les 20 figurant au classement n’ont pas couvert leurs dépenses par des revenus correspondants. Il s’agit des villes de Delémont, Bienne, Köniz, La Chaux-de-Fonds, Winterthour et Lausanne.
En dépit de comptes déficitaires en 2009, les villes de Delémont et La Chaux-de-Fonds se sont cependant bien classées en termes de qualité de la gestion financière. Cela signifie, précise l’Idheap dans son analyse, que les autorités ont conscience d’une situation précaire et fournissent les efforts nécessaires pour l’améliorer.
Investissements
Sept villes ont procédé en 2009 à des investissements nets couverts intégralement par des fonds propres. Il s’agit des cités de Neuchâtel, Thoune, Genève, Berne, Fribourg, Emmen et Winterthour. En revanche, Schaffhouse, Sion, Coire, Zurich et Lausanne se situent en dessous du seuil jugé adéquat de 80% d’autofinancement.
Un bémol
Le niveau d’endettement de la ville, dont l’étude de l’Idheap ne tient pas compte, reste préoccupant, a cependant précisé Alain Ribaux, le conseiller communal en charge des finances de la Ville de Neuchâtel. Selon lui, les résultats de l’étude sont bons néanmoins pour le moral d’une région en difficulté. Ils montrent que les autorités sont conscientes des points problématiques de leur cadre financier et prennent les mesures nécessaires pour s’en occuper efficacement.
Certains noms qui marquent le présent de Neuchâtel
Daniel Burki 58 ans Président de la Chambre de commerce et de l’industrie
En décidant de lancer, au nom de la Chambre, une initiative pour des baisses d’impôts, cet administrateur de sociétés a secoué la politique consensuelle neuchâteloise. Depuis, les chefs de partis ne cessent de défiler dans son bureau. Economiste, il a dirigé la holding Ciment Portland avant d’accéder au cénacle ultime: le comité directeur d’économie suisse.
Michel Parmigiani 53 ans Artisan horloger
Fils d’un mécanicien de précision italien, il en a hérité sa passion pour la perfection. Devenu horloger, il s’est d’abord occupé de la restauration de chefs-d’oeuvre appartenant à la collection de la Fondation Sandoz qui, impressionnée par son savoir-faire, l’a aidé à développer sa propre marque haut de gamme. Il a installé sa manufacture à Fleurier, dans un ancien établissement d’horlogerie rénové avec amour et respect.
Pierre-Olivier Chave 61 ans Directeur et fondateur de PX Holding
En 1976, ce Lausannois d’origine fondait PX Holding à La Chaux-de-Fonds. Aujourd’hui, la société est devenue leader de l’habillement horloger swissmade avec quelque 400 collaborateurs. Cet entrepreneur est aussi président du Neode, parc scientifique et technologique ouvert aux start-up, mais dont bénéficieront aussi les PME. Pierre-Olivier Chave y voit un outil majeur du développement de l’Arc jurassien.
François Thiébaud 57 ans Président de Tissot
Depuis huit ans à la tête de Tissot, l’une des marques mythiques de Swatch Group, François Thiébaud collectionne les responsabilités: gestion de Certina et Mido et coordinateur des dix-huit marques du groupe. Il a gagné ses galons en développant Breitling. Il est également vice-président du comité suisse de la Foire de Bâle.
Luigi Macaluso 55 ans Propriétaire de Girard-Perregaux
L’univers de Luigi Macaluso, propriétaire depuis douze ans de la marque bicentenaire Girard-Perregaux, est naturellement fait d’élégantes montres. Si Luigi Macaluso voyage fréquemment, La Chaux-de-Fonds demeure son port d’attache. Il y a deux ans, il rejoint la commission consultative cantonale pour les questions économiques et, l’an dernier, le conseil de la Chambre du commerce et de l’industrie. Des dirigeants politiques suisses, il espère un intérêt accru pour l’horlogerie, ce secteur qui «appartient à l’ADN de l’arc jurassien.
Monika Dusong 58 ans Conseillère d’État
Cette Bâloise fut la première femme à entrer à l’exécutif de Neuchâtel, en 1992, puis la première au Conseil d’État, en 1997, ouvrant la voie à une génération de politiciennes socialistes.
Claude Nicati 47 ans Procureur général suppléant de la Confédération
Ancien adjoint au commandement de la police cantonale, il officie à Berne depuis 2001. Responsable de la lutte contre le crime organisé, le blanchiment et la corruption, il met son énergie à la gestion de ses équipes de procureurs et à l’avance de ses propres dossiers.
Geneviève Calpini-Calame 47 ans Présidente du tribunal de district
Elle est la juge courageuse et humaine par excellence. En fonctions depuis quinze ans, elle reste modeste et mûrit attentivement ses décisions, qu’elle sait souvent lourdes de conséquences.
André Calantzopoulos 46 ans Président de Philip Morris International (PMI)
Situé à l’entrée ouest de Neuchâtel, la fabrique de tabacs de Philip Morris regroupe près de 1200 collaborateurs. C’est le plus gros contribuable du canton, mais le centre de décision de la firme américaine est ailleurs, à Lausanne. Né en Grèce, André Calantzopoulos a décroché un diplôme d’ingénierie électrique à l’EPFL. Entré chez Philip Morris à moins de 30 ans, il en a gravi les échelons en troisième visite. En 2002, il est devenu président et CEO de PMI.
Thomas Hinderling 57 ans Directeur du Centre suisse d’électronique et de microtechnique
Ce Zurichois règne sur l’innovation. Rien ne se fait dans ce domaine, ni à Neuchâtel ni ailleurs, sans passer par le directeur du Centre suisse d’électronique et de microtechnique. Sous sa houlette, une dizaine de spin-off (entreprises créées autour d’une innovation) ont vu le jour dans la région; ce qui a permis la création d’environ 300 emplois.
André Haemmerli 51 ans Directeur général de Johnson & Johnson
La multinationale américaine du secteur de la santé ne cesse de grandir dans le canton. Ses sept sociétés regroupent 700 personnes entre Le Locle et Neuchâtel. Le Chaux-de-Fonnier André Haemmerli est à la tête du groupe depuis 2001.
Jean Berthoud 42 ans Directeur général de la Banque Bonhôte & Cie SA
Issu d’une famille neuchâteloise émigrée à Paris, Jean Berthoud tente, à 22 ans, de racheter la Banque Bonhôte, fondée en 1815. Elle lui échappe. Mais il est tenace: neuf ans plus tard, il ramasse 2% du capital à la faveur d’un rachat par les cadres. Aujourd’hui, avec quatre partenaires, il contrôle la seule banque privée neuchâteloise.
Qu’importe la saison dans le cœur horloger de la Suisse, on y est vite séduit par la beauté des paysages et l’accueil chaleureux des neuchâtelois. Tout autour du Lac, une large sélection hôtelière, pour tous les goûts et budgets, s’offre aux visiteurs. En voici quelques suggestions :
L’Hôtel Palafitte
Classé par Trip Advisor à la première place sur la liste des 12 meilleurs hôtels de Neuchâtel, l’Hôtel Palafitte – un cinq étoiles – est installé sur un site superbe, avec ses pavillons de luxe sur pilotis, et sa vue sur le lac et les Alpes au loin, sans oublier son architecture unique. Réputé pour la qualité de son service et le confort de ses chambres, on peut dire de cet hötel que le rapport qualité-prix est excellent à tous points de vue. De plus la région avoisinante est riche en découvertes et en culture. Prix d’une chambre occ.double : à partir de 265 € la nuitée incluant le petit-déjeuner.
L’Hôtel Beau Rivage
Situé à deux pas du Lac de Genève, sur l’Esplanade du Mont-Blanc, cet hôtel classé cinq étoiles se trouve à proximité des attractions touristiques et des commerces de Neuchâtel. Le Beau Rivage Hotel jouit d’un emplacement idéal avec des aménagements modernes dans toutes les chambres et d’un service impeccable. Les clients de l’hôtel peuvent profiter des toutes dernières infrastructures sportives et de loisirs disponibles sur place, notamment massage, salle de remise en forme, spa. L’hôtel se caractérise par un mélange de confort moderne et de décoration traditionnelle, ce qui contribue à en faire un établissement original. Prix d’une chambre occ.double : à partir de 240 € la nuitée.
L’Hôtel Beaulac
Bénéficiant d’un emplacement privilégié dans le port de Neuchâtel, l’hôtel Beaulac se trouve à deux minutes à pied du centre historique de la ville et de l’université. Centre de confort et de détente, il répond également aux besoins spécifiques des voyageurs d’affaires et de tourisme grâce à ses chambres récemment rénovées, ses suites, son restaurant et ses salles de conférences et de banquets. Prix d’une chambre occ.double : à partir de 215 € la nuitée.
Restaurant & Hôtel Georges Wenger
Une des meilleures tables de Suisse ! A 15 minutes en voiture de la Chaux-de-Fonds
Rue de la Gare 2, 2340 Le Noirmont | www.georges-wenger.ch
Restaurant « le Bocca » (Boccalino)
Région: Littoral neuchâtelois (bus n°1)
Av. Bachelin 11, 2072 St-Blaise www.le-bocca.com
Désobéissance Bistronomie
Nouveau lieu de gastronomie à Neuchâtel, dans un cadre convivial. Les propriétaires Vincent et Caroline se feront un plaisir de vous accueillir et de vous faire savourer les produits du terroir. (Bistronomie : Contraction de deux termes: bistrot et gastronomie. Le concept allie convivialité et grande cuisine.)
Cuisine gourmande de Suisse et d’ailleurs
Maison des Halles
Au 4 rue du Trésor. Restaurant avec une atmosphère contemporaine mêlée à la chaleur du cadre historique. Une cuisine de saison, originale et élaborée avec le plus grand soin. Grande terrasse en été. Cuisine traditionnelle et du terroir.
Chez Max et Meuron
Restaurant du Conservatoire de musique proposant des pauses de midi tout en musique. Passage Maximilien de Meuron 4.
Au Bateau
Cette sympathique brasserie, installée dans un ancien bateau à vapeur au port de Neuchâtel, rappelle la mer et ses produits, spécialités de la maison. Place du Port 10 2000, Neuenburg.
Cactus
Restaurant vous proposant un choix diversifié de mets de la cuisine mexicaine et tex-mex. Se situe Rue J.J. Lallemand 1.
La Lagune
Spécialités antillaises, le système des buffets permet à chacun de sélectionner les spécialités qu’il désire déguster. Plats originaux, exotiques aux saveurs subtiles tels qu’on les trouve sur les 5 continents. Elle se situe sue le Quai Robert-Comtesse 10.
La taverne neuchâteloise
Dans une ancienne cave voûtée rénovée, la taverne neuchâteloise vous accueille dans une ambiance jazzy-funky. La carte, aux accents britchons, est composée de fondues, raclette, et mets du terroir. 5 de l’Orangerie. www.lataverneneuchateloise.ch
Le site de la presse régionale va faire peau neuve
L’annonce a été publié dans le numéro 255 du 4 novembre 2010.
Quotidiens du canton
Voici les changements pour les abonner et les lecteur du site arcinfo.ch
Hausse du tarif pour les abonnements (le prix au numéro restera à 2.50.-) 359.-/an
A partir du 7 novembre, plus aucun contenu rédactionnel ne sera diffusé gratuitement sur la toile (accès uniquement aux abonnés, compte à faire valider sur http//:abonnes.arcinfo.ch)
Cette démarche n’est qu’à moitié compréhensible car il est vrai que le travail de rédaction mérite rétribution mais si le journal est de qualité, son contenu publié sur le web devrait donner envie aux internautes de souscrire à un abonnement papier.
Cette démarche est plutôt le début de la fin selon moi car un journal en bonne santé ne se fermerait pas pareillement au monde. Il est clair qu’il y a des grands journaux qui ont déjà opté pour la même solution mais ceux-ci ne travail dans la même catégorie car leur contenu éditoriaux sont bien plus fournis et également plus approfondis.
Pour un quotidien à vocation avant tout régional, je ne vois pas l’utilité de rendre son contenu payant sur la toile… mais la question est ouverte au débat !!!
Le Locle, située à 1’000 mètres au sein du Jura neuchâtelois, au centre de l’Europe, est une jolie ville entourée de petites communes et de vallées verdoyantes. Tout en vivant dans le calme rural des campagnes avoisinantes, Le Locle n’est pas trop éloigné des centres urbains tels que Neuchâtel à 20 km, Besançon à 80 km et Lausanne à 100 km. On peut y accéder par train, en vélo, en voiture et même en ski de randonnée à la froide saison. Avec sa voisine, La Chaux-de-Fonds, elle a été classée au patrimoine mondial de l’Unesco.
L’aéroport des Éplatures, à 5 kilomètres seulement du Locle, en direction de La Chaux-de-Fonds, assure toute l’année un service reliant plus de 3’000 aéroports d’Europe et d’Afrique du Nord. Des survols de plaisance sont organisés sur demande pour permettre aux visiteurs de découvrir la région à vol d’oiseau.
Un des berceaux de l’horlogerie suisse
Avec Genève, le Locle fait figure de berceau de l’horlogerie suisse. Un musée de la ville est d’ailleurs consacré à cette tradition. Pendant plus de 250 ans, l’économie du Locle était principalement axée sur l’industrie de la mesure du temps jusqu’à ce qu’une crise affecte cette activité à partir de 1970. Néanmoins, l’industrie des montres de luxe continue d’occuper une place prédominante dans l’économie de cette région.
Reconstruction importante
Plusieurs fois ravagée par des incendies, la ville fut reconstruite sur le modèle de La Chaux-de-Fonds, c’est-à-dire selon un plan en échiquier. On peut apprécier l’architecture de son ancien hôtel de ville, construit entre 1839 et 1841, qui abrite aujourd’hui le Palais de justice, la maison du Bois (ville érigée par Le Corbusier en 1912) et l’actuel Hôtel-de-ville.
Attraits touristiques
Entre autres lieux d’intérêt, une ferme datant du début du 17e siècle sert de lieu d’exposition à un musée paysan et artisanal. Quant au Musée des Beaux-Arts, il renferme des œuvres d’artistes suisses du 19e et du 20e siècle. En direction de la France, les Moulins souterrains du Col-des-Roches avec la Scierie permettent aux visiteurs de voir en action un moulin de trois siècles d’âge mu par la seule force des eaux souterraines.
La Vallée du Doubs et le Saut du Doubs, lieu où la rivière marque la frontière entre la France et la Suisse – avec sa fameuse chute de 27 mètres et le lac des Brenets en forme de serpent – constitue un site incontournable que l’on peut apprécier en bateau, en randonnée pédestre ou en vélo.
Apple a dévoilé en grande pompe sous nouvel amas de technologie. L’iPad se veut tendance tout en étant abordable avec un prix de départ fixé à 499$. Les vidéos de l’appareil du futur envahissent déjà le web. Les caractéristiques techniques de la bête sont très intéressant… Elle viseront un large public mais particulièrement la jeunesse ou le monde étudiant qui saura utilisé tous les avantages de l’outil que cela soit au niveau de la photo et de la vidéo ludique en passant par les jeux, puis également l’outil de travail pour les devoirs, mémento, agenda, mise à jour de site web etc.
Apple store (suisse): l’Appereil sera en vente à partir du mois de juin certainement
Les autorités cantonales ont annoncé un déficit prévisionnel de 34.4 millions de francs pour 2010. Ces chiffres témoignes de l’ampleur de la crise qui touche durement notre canton. Le taux de chômage atteint 6.5% de la population.
Des mesures majeures sont prises pour faire face à la baisse de rentrées fiscales et l’augmentation des charges sociales, tous les départements du canton seront touché apr les mesures de crises et des restrictions budgetaires.
Canton et ville de Neuchâtel sur internet. Actualité, informations et liens. Présentation des régions, des institutions et des entreprises neuchâteloise.