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Les Églises du canton privées du soutien de Philip Morris

Le cigarettier Philip Morris a pris la décision de ne pas réitérer la contribution qu’il faisait jusqu’ici aux Églises reconnues du canton de Neuchâtel.  La raison de ce geste serait imputable aux nouvelles règles de donation de l’entreprise qui excluent désormais le soutien aux causes religieuses.  Le porte-parole de Philip Morris a rappelé que le dernier engagement en faveur des églises reconnues du canton de Neuchâtel est arrivé à échéance en 2009.

Selon l’Express, « cette contribution aurait dû s’élever à 1,5 million de francs pour 2010 soit un peu plus de la moitié pour l’Église réformée évangélique, un peu moins à la Fédération catholique romaine et le restant à l’Église catholique chrétienne. »  Rappelons ici que, dans le canton de Neuchâtel (et aussi dans celui de Genève), l’impôt ecclésiastique est volontaire donc non obligatoire.

Grandes préoccupations

Les Églises neuchâteloises déplorent que cette décision soit effective pour l’exercice 2010 et s’inquiètent déjà d’une situation qui pourrait les plonger, affirment leurs représentants, dans les chiffres rouges en 2011 et 2012. De plus, plusieurs prestations sociales risquent d’être désormais menacées, telles que la présence régulière d’aumôniers dans les hôpitaux, les homes, la rue et les prisons ou la capacité à assumer la totalité des demandes de célébration de services funèbres.

Beaux gestes

Il ne faut cependant pas oublier que la compagnie Philip Morris vient en aide à la communauté via des dons substantiels à Caritas, aux Cartons du coeur, ou Solidarité Femmes.  Sur le plan culturel, il soutient le Théâtre du Passage à Neuchâtel, L’Heure Bleue à La Chaux-de-Fonds et le Musée du Laténium.  Sponsor de la Fête des vendanges, il s’investit aussi dans le Millénaire de Neuchâtel à hauteur de 200’000 fr. et construit à Boudry une crèche de 122 places, dont 15% sont dédiées au voisinage.

Neuchâtel : un exemple de bonne gestion

Édifice de l'IDHEAPDans le palmarès récent de l’Idheap (École des hautes études en administration publique), Neuchâtel se classe en tête des villes les mieux gérées de Suisse, suivies par Thoune et Genève – sur les vingt villes suisses notées en terme de situation et de gestion financières.

Toujours selon l’Idheap, le trio de tête a témoigné en 2009 d’une santé financière supérieure ou égale à la moyenne des sept dernières années. Lucerne, St-Gall, Coire, Winterthour, Zurich et Lausanne ont enregistré, au contraire, les écarts négatifs les plus importants.

Les villes de Neuchâtel, Thoune, Genève, Delémont, Coire et la Chaux-de-Fonds occupent les premiers rangs de l’indice de la qualité de la gestion financière. Fribourg, Emmen (LU), Lucerne, Sion, St-Gall, Winterthour, Zurich et Lausanne se situent en revanche en-dessous de 4 points sur une échelle graduée de 1 à 6.

La couverture des charges

L’indice de la couverture des charges montre que six villes sur les 20 figurant au classement n’ont pas couvert leurs dépenses par des revenus correspondants. Il s’agit des villes de Delémont, Bienne, Köniz, La Chaux-de-Fonds, Winterthour et Lausanne.

En dépit de comptes déficitaires en 2009, les villes de Delémont et La Chaux-de-Fonds se sont cependant bien classées en termes de qualité de la gestion financière. Cela signifie, précise l’Idheap dans son analyse, que les autorités ont conscience d’une situation précaire et fournissent les efforts nécessaires pour l’améliorer.

Investissements
Sept villes ont procédé en 2009 à des investissements nets couverts intégralement par des fonds propres. Il s’agit des cités de Neuchâtel, Thoune, Genève, Berne, Fribourg, Emmen et Winterthour. En revanche, Schaffhouse, Sion, Coire, Zurich et Lausanne se situent en dessous du seuil jugé adéquat de 80% d’autofinancement.

Un bémol

Le niveau d’endettement de la ville, dont l’étude de l’Idheap ne tient pas compte, reste préoccupant, a cependant précisé Alain Ribaux, le conseiller communal en charge des finances de la Ville de Neuchâtel. Selon lui, les résultats de l’étude sont bons néanmoins pour le moral d’une région en difficulté. Ils montrent que les autorités sont conscientes des points problématiques de leur cadre financier et prennent les mesures nécessaires pour s’en occuper efficacement.

Source : http://www.arcinfo.ch

Neuchâtel : un exemple de bonne gestion

Dans le palmarès récent de l’Idheap (École des hautes études en administration publique), Neuchâtel se classe en tête des villes les mieux gérées de Suisse, suivies par Thoune et Genève – sur les vingt villes suisses notées en terme de situation et de gestion financières.

Toujours selon l’Idheap, le trio de tête a témoigné en 2009 d’une santé financière supérieure ou égale à la moyenne des sept dernières années. Lucerne, St-Gall, Coire, Winterthour, Zurich et Lausanne ont enregistré, au contraire, les écarts négatifs les plus importants.
Si les villes de Neuchâtel, Thoune, Genève, Delémont, Coire et la Chaux-de-Fonds occupent les premiers rangs de l’indice de la qualité de la gestion financière, Fribourg, Emmen (LU), Lucerne, Sion, St-Gall, Winterthour, Zurich et Lausanne se situent en revanche en-dessous de 4 points sur une échelle graduée de 1 à 6.

La couverture des charges

L’indice de la couverture des charges montre que six villes sur les 20 figurant au classement n’ont pas couvert leurs dépenses par des revenus correspondants. Il s’agit des villes de Delémont, Bienne, Köniz, La Chaux-de-Fonds, Winterthour et Lausanne.
En dépit de comptes déficitaires en 2009, les villes de Delémont et La Chaux-de-Fonds se sont cependant bien classées en termes de qualité de la gestion financière. Cela signifie, précise l’Idheap dans son analyse, que les autorités ont conscience d’une situation précaire et fournissent les efforts nécessaires pour l’améliorer.
Investissements

Sept villes ont procédé en 2009 à des investissements nets couverts intégralement par des fonds propres. Il s’agit des cités de Neuchâtel, Thoune, Genève, Berne, Fribourg, Emmen et Winterthour. En revanche, Schaffhouse, Sion, Coire, Zurich et Lausanne se situent en dessous du seuil jugé adéquat de 80% d’autofinancement.

Un bémol

Le niveau d’endettement de la ville, dont l’étude de l’Idheap ne tient pas compte, reste préoccupant, a cependant précisé Alain Ribaux, le conseiller communal en charge des finances de la Ville de Neuchâtel. Selon lui, les résultats de l’étude sont bons néanmoins pour le moral d’une région en difficulté. Ils montrent que les autorités sont conscientes des points problématiques de leur cadre financier et prennent les mesures nécessaires pour s’en occuper efficacement.

Source : http://www.arcinfo.ch

Visite insolite : les Moulins souterrains du Locle

Voici l’histoire des fameux Moulins souterrains du Locle :

En 1660, Jonas Sandoz, receveur des Montagnes neuchâteloises et membre d’une famille puissante et fortunée, reçut par héritage une concession sur le Bied, entre le Châtelard et les Portes du Locle. La même année, il informa le Conseil d’État de sa volonté d’installer au Locle de nouveaux moulins, pour le plus grand bien de la population. Fort de l’influence de sa famille et assez persuasif, celui-ci obtint gain de cause : le Conseil d’État lui accorda la concession sur tout le cours du Bied, de la sortie du Locle au Col-des-Roches.

Jonas Sandoz ne se contenta pas des deux rouages déjà établis par ses prédécesseurs. Il fit creuser la grotte afin d’y installer cinq roues hydrauliques pour actionner moulins, scierie, rebatte et huilière. Des canaux souterrains servaient à conduire l’eau de rouages en rouages, tandis que des galeries et des escaliers permettaient l’entretien de la machinerie. Il réussit à installer une véritable usine souterraine qu’il devra vendre en 1690, peu avant de mourir, pour éviter de sombrer dans la pauvreté.

Le XVIIIe siècle a vu se succéder aux moulins du Col-des-Roches une demi-douzaine de propriétaires, dont l’activité principale était de simplifier le mécanisme hydraulique. De cinq rouages, on passa à quatre dans les premières décennies du siècle. A partir des années 1780, les voyageurs qui ont visité les moulins recensèrent unanimement trois rouages et trois moulins. D’autre part, on assista dans la Principauté à une diminution des moulins à céréales au cours du même siècle, due aux importations de farine, quoique interdites mais tolérées.

Au fil du temps, des perfectionnements de l’ère industrielle furent ajoutés aux moulins grâce à l’ingéniosité de Jean-Georges Eberlé, boulanger loclois, originaire du Wurtemberg. Propriétaire du site dès 1844, il construisit un vaste bâtiment comprenant moulins, nettoyage à blé, bluterie et monte-sacs. Dix ans plus tard, il remplaça une des roues hydrauliques par une turbine. Quant à la dernière roue, elle actionne toujours, par le biais d’un arbre de transmission de cinquante mètres, une scierie transférée au niveau du sol.

En 1884, la Municipalité du Locle acheta les moulins aux héritiers d’Eberlé. Quatorze ans plus tard, es moulins furent transformés en abattoir-frontière. Instaurés par le Département fédéral de l’agriculture, ces établissements remplissaient essentiellement un rôle de contrôle sanitaire des bestiaux importés. Au début du XXe siècle, l’abattoir-frontière du Col-des-Roches prit de l’expansion se dotant de nouveaux bâtiments et d’installations dernier cri. Malheureusement, l’abattoir se servit de la grotte comme d’un dépotoir pour les déchets carnés et les eaux usées. A sa fermeture, en 1966, l’emposieu du Col-des-Roches était gravement pollué.

En 1973, un groupe d’amateurs d’histoire et de spéléologie entreprit le nettoyage de la grotte et la restauration partielle des moulins. Après quinze ans de labeur courageux et bénévole, la Confrérie des Meuniers du Col-des-Roches pu enfin rendre au public les Moulins souterrains du Col-des-Roches. Le site suscita immédiatement l’intérêt du public et les visites guidées attirèrent une moyenne annuelle de 35’000 visiteurs. Diverses améliorations furent apportées au cours des années, telle l’ouverture d’une exposition permanente en 2001, puis la création d’un espace pour les expositions temporaires.

Pour les horaires des visites et les tarifs : http://www.lesmoulins.ch/tarifs.htm

Des noms qui ont marqué l’histoire de Neuchâtel

Abraham Louis Breguet

Cette liste exhaustive présente les principales personnalités liées à l’histoire d’hier et d’aujourd’hui du canton de Neuchâtel.

Artistes

Écrivains

Grands entrepreneurs

Politique

Sciences

Source : www.memo.fr

Certains noms qui marquent le présent de Neuchâtel

Daniel Burki

Daniel Burki 58 ans Président de la Chambre de commerce et de l’industrie

En décidant de lancer, au nom de la Chambre, une initiative pour des baisses d’impôts, cet administrateur de sociétés a secoué la politique consensuelle neuchâteloise. Depuis, les chefs de partis ne cessent de défiler dans son bureau. Economiste, il a dirigé la holding Ciment Portland avant d’accéder au cénacle ultime: le comité directeur d’économie suisse.

Michel Parmigiani 53 ans Artisan horloger

Fils d’un mécanicien de précision italien, il en a hérité sa passion pour la perfection. Devenu horloger, il s’est d’abord occupé de la restauration de chefs-d’oeuvre appartenant à la collection de la Fondation Sandoz qui, impressionnée par son savoir-faire, l’a aidé à développer sa propre marque haut de gamme. Il a installé sa manufacture à Fleurier, dans un ancien établissement d’horlogerie rénové avec amour et respect.

Pierre-Olivier Chave 61 ans Directeur et fondateur de PX Holding

En 1976, ce Lausannois d’origine fondait PX Holding à La Chaux-de-Fonds. Aujourd’hui, la société est devenue leader de l’habillement horloger swissmade avec quelque 400 collaborateurs. Cet entrepreneur est aussi président du Neode, parc scientifique et technologique ouvert aux start-up, mais dont bénéficieront aussi les PME. Pierre-Olivier Chave y voit un outil majeur du développement de l’Arc jurassien.

François Thiébaud 57 ans Président de Tissot

Depuis huit ans à la tête de Tissot, l’une des marques mythiques de Swatch Group, François Thiébaud collectionne les responsabilités: gestion de Certina et Mido et coordinateur des dix-huit marques du groupe. Il a gagné ses galons en développant Breitling. Il est également vice-président du comité suisse de la Foire de Bâle.

Luigi Macaluso 55 ans Propriétaire de Girard-Perregaux

L’univers de Luigi Macaluso, propriétaire depuis douze ans de la marque bicentenaire Girard-Perregaux, est naturellement fait d’élégantes montres. Si Luigi Macaluso voyage fréquemment, La Chaux-de-Fonds demeure son port d’attache. Il y a deux ans, il rejoint la commission consultative cantonale pour les questions économiques et, l’an dernier, le conseil de la Chambre du commerce et de l’industrie. Des dirigeants politiques suisses, il espère un intérêt accru pour l’horlogerie, ce secteur qui «appartient à l’ADN de l’arc jurassien.

Monika Dusong 58 ans Conseillère d’État

Cette Bâloise fut la première femme à entrer à l’exécutif de Neuchâtel, en 1992, puis la première au Conseil d’État, en 1997, ouvrant la voie à une génération de politiciennes socialistes.

Claude Nicati 47 ans Procureur général suppléant de la Confédération

Ancien adjoint au commandement de la police cantonale, il officie à Berne depuis 2001. Responsable de la lutte contre le crime organisé, le blanchiment et la corruption, il met son énergie à la gestion de ses équipes de procureurs et à l’avance de ses propres dossiers.

Geneviève Calpini-Calame 47 ans Présidente du tribunal de district

Elle est la juge courageuse et humaine par excellence. En fonctions depuis quinze ans, elle reste modeste et mûrit attentivement ses décisions, qu’elle sait souvent lourdes de conséquences.

André Calantzopoulos 46 ans Président de Philip Morris International (PMI)

Situé à l’entrée ouest de Neuchâtel, la fabrique de tabacs de Philip Morris regroupe près de 1200 collaborateurs. C’est le plus gros contribuable du canton, mais le centre de décision de la firme américaine est ailleurs, à Lausanne. Né en Grèce, André Calantzopoulos a décroché un diplôme d’ingénierie électrique à l’EPFL. Entré chez Philip Morris à moins de 30 ans, il en a gravi les échelons en troisième visite. En 2002, il est devenu président et CEO de PMI.

Thomas Hinderling 57 ans Directeur du Centre suisse d’électronique et de microtechnique

Ce Zurichois règne sur l’innovation. Rien ne se fait dans ce domaine, ni à Neuchâtel ni ailleurs, sans passer par le directeur du Centre suisse d’électronique et de microtechnique. Sous sa houlette, une dizaine de spin-off (entreprises créées autour d’une innovation) ont vu le jour dans la région; ce qui a permis la création d’environ 300 emplois.

André Haemmerli 51 ans Directeur général de Johnson & Johnson

La multinationale américaine du secteur de la santé ne cesse de grandir dans le canton. Ses sept sociétés regroupent 700 personnes entre Le Locle et Neuchâtel. Le Chaux-de-Fonnier André Haemmerli est à la tête du groupe depuis 2001.

Jean Berthoud 42 ans Directeur général de la Banque Bonhôte & Cie SA

Issu d’une famille neuchâteloise émigrée à Paris, Jean Berthoud tente, à 22 ans, de racheter la Banque Bonhôte, fondée en 1815. Elle lui échappe. Mais il est tenace: neuf ans plus tard, il ramasse 2% du capital à la faveur d’un rachat par les cadres. Aujourd’hui, avec quatre partenaires, il contrôle la seule banque privée neuchâteloise.

Portrait de Didier Burkhalter


Né en 1960 à Neuchâtel, Didier Burkalter est un professionnel de la politique, membre du Parti Libéral radical. Après des études universitaires en économie politique, il est devenu rédacteur économique avant de se lancer en politique.  Didier Burkhalter est le neuvième Neuchâtelois élu au Conseil fédéral.

Résumé biographique

Élu en 1991 au Conseil communal de la ville de Neuchâtel, Didier Burkhalter était à l’époque un des plus jeunes politiciens suisses désigné à une fonction exécutive. Il quittera son poste en 2005, après la conclusion du partenariat public-privé (PPP) ayant abouti à la construction du nouveau stade de La Maladière.

En 2003, à Berne, son tempérament peu porté à l’utopie va le positionner d’emblée aux avant-postes du Parti radical-démocratique suisse (PRD), devenu depuis le Parti libéral-radical (PLR). Deux ans plus tard, ses talents de médiateur lui valent une nomination à la vice-présidence du groupe radical aux Chambres. Lors des élections fédérales de 2007, il réussit également le difficile passage du Conseil national au Conseil des États, en enlevant un des deux sièges détenus par le PS neuchâtelois.

Au Conseil des États, on doit à Didier Burkhalter le vote de la motion réclamant l’instauration d’un système d’alerte en cas d’enlèvement d’enfants. A Berne, Didier Burkhalter était un parlementaire très écouté. Le dernier sondage de la Sonntagszeitung le place même au 5e rang des parlementaires les plus influents, et au premier rang parmi les latins.

Un homme loyal

On reconnaît à Didier Burkhalter une loyauté sans faille à l’égard de sa famille politique.  Ses convictions libérales se doublent d’une capacité de médiation prudente dans les situations de blocage. Chez lui, les concessions sont mûrement réfléchies et ne vont jamais trop loin. Didier Burkhalter est un homme prudent et pragmatique. Pour lui, le charisme politique n’a de sens que s’il produit des résultats.

Source : http://www.tsr.ch

Tout sur le Musée international d’Horlogerie et son histoire

Avec sa collection riche de plus de 4000 pièces suisses et étrangères, le MIH de la Chaux-de-Fonds est le plus important musée spécialisé dans l’horlogerie au monde. A travers de nombreuses expositions thématiques, il aborde depuis 1902, l’histoire de la mesure du temps (du sablier antique à l’horloge atomique).

On peut y découvrir les premiers balbutiements d’un artisanat rural qui gagna peu à peu les plus grandes cours de l’Europe pour devenir un art à part entière. Le MIH expose des pièces extrêmement rares telle qu’une remarquable collection de montres oignons émaillées ou la plus petite montre-bracelet du monde de la taille d’une touche de téléphone portable ; il raconte comment le mouvement mécanique devint un mouvement électronique d’une précision infaillible. Le musée se projette enfin dans le futur et présente les outils de l’horlogerie scientifique ; la nouvelle génération de pendules astronomiques et d’horloges atomiques

Le Musée de l’Horlogerie dispose de son propre atelier de restauration installé derrière des vitres qui ouvrent sur les salles d’exposition. Les visiteurs peuvent ainsi observer des artisans horlogers au travail, en train de restaurer quelques-unes des plus belles pièces issues des collections du Musée ou de propriétaires privés.

Son architecture « incluse en sol » mérite à elle seule un coup d’œil. L’entrée, au cœur d’un joli parc (dans lequel on peut admirer un véritable carillon), conduit aux salles d’exposition excavées, qui s’engouffrent sous la terre ; une originalité d’ailleurs récompensée par plusieurs prix d’architecture.

Historiquement, la ville de la Chaux-de-Fonds est considérée comme un des centres parmi les plus importants de l’industrie horlogère suisse et mondiale et abrite une des écoles d’horlogerie du pays. Le musée est né de la collection d’étude de l’école et celle-ci est aujourd’hui considérée comme l’une des plus importantes de la planète. Les pièces suisses sont à l’honneur dans cette collection, mais on y trouve également des « objets du temps » provenant du monde entier, qui ont été, ou sont encore, très importantes pour l’horlogerie.

Parmi les grandes pièces de l’exposition, on peut en particulier admirer…

• Une des rares répliques de l’Atrarium de Giovanni di Dondi dont le mouvement imaginé au XIVe siècle comprenait déjà un mécanisme montrant les mouvements du soleil, de la lune et des planètes ;
• Une rétrospective complète de l’histoire de la Pendule neuchâteloise ;
• Plusieurs horloges des maîtres Breguet, Janvier, Le Roy, Robin, etc. ;
• Un des premiers chronomètres de marine fabriqué par Ferdinand Berthoud ;
• Une collection unique d’appareillages anciens permettant de fabriquer des pièces et composants pour l’horlogerie ;
• Une magnifique horloge-orgue musicale de Jacquet-Droz ;
• Une belle collection de pendules de fabricants comme Strasser & Rhodes, Sigmund Riefler, Zenith et Fedchenko ;
• Des horloges de clocher et des horloges comtoises issues de Franche-Comté ;
• La première montre de poche attestée waterproof/étanche de West End Watch Co. appelée « L’Imperméable ».

COORDONNÉES

Musée international d’horlogerie
Rue des Musées 29
2301 La Chaux-de-Fonds
Tél. +41 (0)32 967 68 61 / +41 (0)32 967 68 61
Fax +41 (0)32 722 07 61
http://www.mih.ch

Horaire du MIH
Lundi : fermé
Du mardi au dimanche : 10h – 17h

Tarifs
Adultes : 15FS
Enfant dès 12 ans, étudiants de moins de 25 ans et chômeurs : 10 FS
Enfants jusqu’à 12 ans : gratuit
Forfait famille : 32FS
(Différents tarifs de groupes, visites guidées sur demande)
Entrée libre le dimanche matin de mi-octobre à fin mars.

A la découverte des beaux hôtels de Neuchâtel

Pavillon Hotel Palafitte

Qu’importe la saison dans le cœur horloger de la Suisse, on y est vite séduit par la beauté des paysages et l’accueil chaleureux des neuchâtelois. Tout autour du Lac, une large sélection hôtelière, pour tous les goûts et budgets, s’offre aux visiteurs. En voici quelques suggestions :

L’Hôtel Palafitte

Classé par Trip Advisor à la première place sur la liste des 12 meilleurs hôtels de Neuchâtel, l’Hôtel Palafitte – un cinq étoiles – est installé sur un site superbe, avec ses pavillons de luxe sur pilotis, et sa vue sur le lac et les Alpes au loin, sans oublier son architecture unique. Réputé pour la qualité de son service et le confort de ses chambres, on peut dire de cet hötel que le rapport qualité-prix est excellent à tous points de vue. De plus la région avoisinante est riche en découvertes et en culture. Prix d’une chambre occ.double : à partir de 265 € la nuitée incluant le petit-déjeuner.

L’Hôtel Beau Rivage

Situé à deux pas du Lac de Genève, sur l’Esplanade du Mont-Blanc, cet hôtel classé cinq étoiles se trouve à proximité des attractions touristiques et des commerces de Neuchâtel. Le Beau Rivage Hotel jouit d’un emplacement idéal avec des aménagements modernes dans toutes les chambres et d’un service impeccable. Les clients de l’hôtel peuvent profiter des toutes dernières infrastructures sportives et de loisirs disponibles sur place, notamment massage, salle de remise en forme, spa. L’hôtel se caractérise par un mélange de confort moderne et de décoration traditionnelle, ce qui contribue à en faire un établissement original. Prix d’une chambre occ.double : à partir de 240 € la nuitée.

L’Hôtel Beaulac

Bénéficiant d’un emplacement privilégié dans le port de Neuchâtel, l’hôtel Beaulac se trouve à deux minutes à pied du centre historique de la ville et de l’université. Centre de confort et de détente, il répond également aux besoins spécifiques des voyageurs d’affaires et de tourisme grâce à ses chambres récemment rénovées, ses suites, son restaurant et ses salles de conférences et de banquets. Prix d’une chambre occ.double : à partir de 215 € la nuitée.

Initiez-vous au brassage de la bière!

Avez-vous déjà caressé le projet de fabriquer vous-même une bière artisanale?  Sachez qu’il est tout à fait possible de le réaliser en suivant un atelier donné à Petit-Cortaillod près de Neuchâtel.

Avec les festivités de Noël qui approchent de plus en plus, ce cours peut constituer une idée géniale à offrir en cadeau à un amateur (il ou elle) de bonne bière du pays.

L’atelier d’une journée aura lieu samedi le 30 novembre et commencera à 08h30.  Pour réaliser la bière de votre choix – bière blonde, blanche, ou noire – vous serez guidé dans l’assemblage des différentes saveurs et couleurs exaltées par les variétés de grains. Puis vous brasserez vous-même 20 litres de la recette choisie.

Le déroulement:

Les participants auront loisir de suivre le fonctionnement de la micro brasserie en direct.  Parallèlement au brassage de 200 litres dans la cuve principale, un cours théorique sur les matières premières, le brassage et les différents modes de fermentation (haute, basse,
spontanée) sera donné tout au long de la journée.

Au cours de cette journée instructive et sympathique, vous serez familiarisé avec le mélange des céréales, le concassage du grain ainsi que les techniques de brassage, filtration et de houblonnage.

Les petits plus

À la fin de l’atelier (de 8 :30 à 16h00) un café accompagné d’une petite collation sera servi à 10h00 ainsi que le repas du midi accompagné (bien sûr!) de bières de la brasserie.

Tarif tout inclus : 140 CHF. Pour les 18 ans et plus.

Pour information ou réservation de cet atelier organisé par la boutique Les Plaisirs Gourmands :
http://www.ideecadeau.ch/events/E185035–cour_de_brassage_neuchatel.html

Les Artisanales de Noël en pleine préparation!

Pour sa 6e édition, le plus grand marché d’artisans-créateurs couvert de Suisse ouvrira ses portes du 4 au 12 décembre sur la Place du Port à Neuchâtel (à quelques pas du centre historique et commercial de la ville). Sous les deux grandes tentes chauffées, près de 200 artisans, créateurs et artistes s’installeront dans leurs kiosques illuminés pour présenter leurs œuvres. Un trésor idées de cadeaux originales pour vos présents de Noël ou, encore, pour le simple plaisir d’acquérir pour soi un objet unique à chérir.

On y trouve de tout : produits du terroir, bijoux, confection, luminaires, objets en bois, poteries, céramiques, vannerie, arts déco, bougies, figurines, maroquinerie, peintures, sculptures, fonderie, verrerie. Plus de 30 artisans du monde de la gastronomie sont attendus. Dégustations et plaisir garantis.

Les Artisanales de Noël mettent aussi un accent spécifique sur le fait que tous les participants sont obligés d’être eux- mêmes les créateurs et les producteurs des objets exposés et vendus. Chaque pièce devient de ce fait originale.

La décoration de la tente ainsi que la décoration festive qui est exigée de chaque exposant sur les stands crée une vraie atmosphère de Marché de Noël et permet aux visiteurs (environs 50’000 attendus sur les 9 jours d’ouverture) de se plonger dans l’ambiance des Fêtes de fin d’année.

Le marché se trouve à la Place du Port, environ 15 minutes à pied ou en funiculaire Funambule de la gare de Neuchâtel (billet à payer sur place).

Prix d’entrée aux Artisanales : 5 CHF.

Pour connaître les heures d’ouverture, vous êtes invité à consulter le site de l’événement: www.artisanalesdenoel.ch